La laie des premiers effluve
Les spores du Namtar flottaient fréquemment dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de date et de brouillard. Invisibles à l’œil nu, elles dessinaient des descriptifs complexes dans l’air, modifiant l’état perceptif de celles qui les respiraient. Dans un séparation clair, qui entourent quelques clairières,